Colette, grand cru français de notre patrimoine littéraire, vint aussi en Italie en tant que correspondante de presse (1915). Elle qui sut si bien décrire les comportements humains, connut aussi une sorte de confinement intime, une sensation de vide qu’elle décrit dans un texte intitulé « Danger ».
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Notre amie Nicole Laval-Turpin, le 7 février 2017, nous avait présenté une conférence intitulée :
Colette en Italie de 1915 à 1917
Sur le site de l'ACORFI, vous pouvez retrouver cette remarquable conférence en suivant ce lien.
Merci Marie Hélène pour cette belle lecture du texte de Colette.
RépondreSupprimerDélice du temps étendu, gratuit...donné sans compter et sans compte à rendre
Délice de se laisser inspirer par les désirs de l'instant, au gré des moments.
Sans cette période de confinement forcé je serai peut-être passée à côté.
Sylvie LH
suite…."serais" c'est mieux...
RépondreSupprimerLe confinement appelle la règle nous dit Colette, respectons la!
Que cela fait du bien, Marie Hélène, que d'entendre ta voix. Ce confinement est trop lourd de silence, et les paroles amies nous manquent.
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