lundi 27 avril 2020

Confinement, rien de nouveau sous le soleil

Colette, grand cru français de notre patrimoine littéraire, vint aussi en Italie en tant que correspondante de presse (1915). Elle qui sut si bien décrire les comportements humains, connut aussi une sorte de confinement intime, une sensation de vide qu’elle décrit dans un texte intitulé « Danger ».

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Notre amie Nicole Laval-Turpin, le 7 février 2017, nous avait présenté une conférence intitulée :
Colette en Italie de 1915 à 1917

Sur le site de l'ACORFI, vous pouvez retrouver cette remarquable conférence en suivant ce lien

3 commentaires:

  1. Merci Marie Hélène pour cette belle lecture du texte de Colette.
    Délice du temps étendu, gratuit...donné sans compter et sans compte à rendre
    Délice de se laisser inspirer par les désirs de l'instant, au gré des moments.
    Sans cette période de confinement forcé je serai peut-être passée à côté.
    Sylvie LH

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  2. suite…."serais" c'est mieux...
    Le confinement appelle la règle nous dit Colette, respectons la!

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  3. Que cela fait du bien, Marie Hélène, que d'entendre ta voix. Ce confinement est trop lourd de silence, et les paroles amies nous manquent.

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